Mon cabinet d'avocat en droit pénal à Vannes, en Bretagne, est régulièrement sollicité par des personnes victimes de violences familiales. J’ai pu à travers ces procédures développer une réelle connaissance des recours possibles et des moyens de les mettre en place, ainsi qu’une réelle empathie pour ces victimes de violences qui sont en souffrance.
Si vous êtes victime de violences physiques, morales, ou sexuelles au sein même de votre famille, prenez contact avec moi pour obtenir mon soutien, être défendu et éventuellement protéger vos enfants.
Les violences conjugales concernent aussi bien les femmes que les hommes, même si en proportion les femmes subissent davantage ces violences intrafamiliales.
On dénombre différents types de violences conjugales.
Tout d’abord, les violences physiques, celles qui sont le plus souvent mentionnées, et qui impliquent des coups et blessures.
Ensuite, les violences psychologiques, comprenant le harcèlement moral, les brimades, les insultes et les humiliations.
Enfin, les violences sexuelles, comprenant les viols, tentatives de viols et le harcèlement sexuel.
Pour les faire reconnaître, les faire cesser, obtenir une ordonnance de protection ou même des indemnités, faites appel à mes services. Je vous accompagnerai efficacement tout au long des démarches nécessaires. Avec mon concours, nous constituerons votre dossier en y intégrant les pièces nécessaires, notamment les expertises médicales, photos, mains courantes et éventuels témoignages afin de donner du poids à votre démarche.
Je vous apporte mes conseils afin de garantir votre protection ainsi que celle de vos enfants, si vous en avez.
Pour ces derniers, s’ils sont eux aussi victimes de ces violences, d’autres mesures complémentaires pourront être mises en place, notamment concernant les modalités d’exercice de l’autorité parentale ainsi que les droits de garde et de visite.
Pour en savoir plus sur l'accompagnement de Me Lucie Le Guillant, vous pouvez la contacter par téléphone ou grâce au formulaire de contact de ce site.
Dans un premier temps, vous avez l’option de quitter le domicile conjugal et de vous rendre dans le commissariat le plus proche afin de déposer une plainte ou une main courante. Cette étape souvent difficile est néanmoins nécessaire afin de signaler votre départ et ainsi éviter que votre conjoint ne vous reproche un abandon de domicile.
Si les résultats des violences physiques dont vous êtes la victime sont visibles, je vous conseille d’aller les faire constater par un hôpital ou votre médecin traitant, qui vous délivrera un certificat médical.
Ensuite, dans un second temps, nous pourrons saisir ce même juge dans le cadre d’une procédure de divorce pour faute. Les violences conjugales constituent en effet un motif suffisant. Si vous avez des enfants, la saisine du juge aux affaires familiales pourra se faire en urgence afin que des mesures à leur encontre soient prises rapidement, pour leur propre bien.
Pour m’exposer votre situation, prenez contact sans délai avec mon cabinet. Je vous donnerai quelques précieux conseils sur les options s’offrant à vous et, si vous le souhaitez, nous lancerons sans tarder les démarches nécessaires.
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